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jeudi, 17 février 2011

Who the fuck is Arcade Fire?

Who the fuck is Arcade Fire?

 

Cours de rattrapage.

 

C'est avec ma plus belle voix de Nikos Aliagas que je vous annonce que le twit-buzz-clash du jour, c'est Arcade Fire ! 

Par Adrien Simonnot article original sur le blog "l'épicier" 

 

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Vous connaissez peut-être Arcade Fire. En tout cas, le reste du monde ne les connaît pas. Prenez à titre d'exemple cette comparaison en termes de recherches sur Internet entre Arcade Fire et Justin Bieber. Bieber, qui est étonnement populaire dans les pays reconnus pour l'intégration des transsexuels (Indonésie, Philippines, Brésil...), explose les recherches Google depuis son arrivée sur la scène médiatique en 2009. Alors qu'Arcade Fire ne produit qu'un léger bruit de fond depuis 2004. Seuls les médias semblent avoir un soudain intérêt pour eux depuis ces derniers jours.

 

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lundi, 10 janvier 2011

Suck my d**k or die trying, hos !

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Chers amis mélomanes, il est grand de parler d’un mouvement musical largement dénigré et non reconnu à sa juste valeur (notez la poésie du titre). Je veux bien évidemment vous parler du Gangsta rap. Non pas du rap old-school en général (un des quatre piliers du Hip-Hop américain, avec le breakdance, le deejaying et le graffiti), qui ose entacher quelques excellents sons de paroles politiques, symboliques, humoristiques, absurdes, etc. (bref, un truc de lopettes !), mais bien du viril Gansgsta rap et son dérivé beauf original le Crunk (contraction de crazy et drunk, ce qui promet…).

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mercredi, 01 décembre 2010

Beatles vs. Rolling Stones

 

Beatles vs. Rolling Stones

 

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Le retour de la vengeance ! 

Aujourd’hui, l’EPICier va traiter d’un sujet qui divise les français. Non, pas les retraites. Ni l’affaire Woerth-Bettencourt. Ni même la nouvelle coupe de cheveux de Jean-Louis Borloo. Le titre a déjà vendu la mèche : il s’agit du sempiternel débat sur qui des Beatles ou des Rolling Stones sont les meilleurs.

Tout est parti d’une discussion lors d’un petit-déjeuner à Strasbourg, entre deux bananes et trois Krisprolls. Un supplément du Point sur les Beatles traînant sur la table, Ju lança un catégorique « Les Stones, c’est mieux que les Beatles ! ». Ce à quoi Ad répondit d’un véhément « Non. ».

- « Si ! » - « Non ! » - « Si ! » - « Non ! » - « Si ! » - « Non ! » - « Si ! » - « Non ! »

Une demi-heure plus tard, le café leur rendant un peu de clairvoyance, nos deux compères eurent l’idée bien plus constructive d’organiser un « Versus » : 10 arguments pour sa paroisse, 10 arguments contre l’autre chapelle, 10 titres pour convaincre vos oreilles. De quoi nourrir un débat houleux mais intemporel, nécessaire mais vain, car qui saurait départager objectivement ces deux légendes de l’histoire du rock ?

 

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jeudi, 19 août 2010

Jack The Ripper – Ladies First

Jack The Ripper – Ladies First

 

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Jack the Ripper est un de ces groupes, pas toujours abordable, mais tellement séduisant pour peu que l'on fasse l'effort de s'y plonger. Car Jack the Ripper possède son ambiance, son univers, mélange d'instruments toujours savamment orchestrés au service du chanteur, Arnaud Mazurel, à la voix torturée mais toujours contrôlée.

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samedi, 14 août 2010

Lou REED - The Best Of Lou Reed And The Velvet Underground (1995)

 


Lou REED - The Best Of Lou Reed And The Velvet Underground(1995)


De la Factory d’Andy Warhol sortent dès 1966 quelques étranges mélopées, calmes ou agitées, égrenées par un étrange individu torturé, qui a quelque temps plus tôt rencontré Andy Warhol. Ce dernier a décelé en ce jeune homme et son groupe un talent certain, et décide alors de les produire : l’album « The Velvet Underground and Nico » (la Nico vue dans un des épisodes de « La Dolce Vita » de Fellini) sort dès 1967. Mais alors que Warhol commence à percer, l’album du Velvet ne connaît lui qu’un faible succès, la morale puritaine d’une Amérique aux yeux rivés sur le Vietnam refusant d’entendre cette musique aux thèmes subversifs (drogue, homosexualité, masochisme dans Venus in Furs), trop décalée, alors que la même année sort le Sgt Pepper des Beatles.


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Quelques années plus tard, un jeune artiste en pleine explosion, David Bowie, produit Lou Reed sur un album solo, Transformers. Nous sommes en 1972, l’album rencontre un bon succès commercial et permet au chanteur de se faire un nom, malgré des paroles encore sujettes à controverse. Quatre albums de Reed associé au Velvet Underground étaient sortis entre 66 et 72, et ne s’étaient pas vendus, malgré de bons titres.
La carrière de Lou Reed est lancée, et Walk On The Wild Side, Perfect Day, ou encore Satellite of Love touchent le public. S’ensuivront plusieurs albums solos de Lou Reed, dont en 73 l’excellent Berlin, puis en 74 le non moins bon Sally can’t dance. Metal Machine Music (1975) constituera un des ratés de l’américain (demandez donc à notre chroniqueur spécialiste du chanteur son avis, lui qui a du écouter tout l’album :-)

Bref, tout ça pour dire que ce Best Of, qui semblait indispensable, constitue un condensé, pas si condensé d’ailleurs, plutôt bien réalisé, de l’immense carrière de Lou Reed. Indispensable, comme le fait d’inclure dans cette galette les premiers morceaux de Reed réalisés avec le Velvet Underground. Sunday Morning est une véritable accroche sur un CD quand on sait que 19 pistes suivent derrière (je parle de ceux – oh, que j’aimerais être à leur place – qui découvriraient le Velvet à travers ce CD), et penser qu’elle a été l’accroche du premier CD du groupe, écoutée par une petite poignée ayant investi à l’époque 3 dollars pour l’obtenir, lui donne un caractère unique. Uniques aussi, les notes de célesta d’introduction.



Hommage : on définit une bonne chanson par son ambiance. On peut l’évoquer en pensant à No Surprises de Radiohead, ou à New-York, New-York de Sinatra. Une voix qui colle à la musique, un instrument bien placé, une originalité parfaitement maîtrisée. Venus in Furs est pour moi représentative du génie de Lou Reed, intemporelle, psychédélique, aphrodisiaque, limpide et tortueuse, sublime. Le refrain nous donne envie nous aussi de s’endormir pour des milliers d’années, accompagnés de cet alto électrique suraigu et planant (« I am tired, I am weary/I could sleep for a thousand years/A thousand dreams that would awake me/Different colors made of tears »).



Indispensable aussi, les tubes - même si des tubes de Lou Reed peu sont connus du grand public – que sont Walk on the Wild Side, Perfect Day, sur les thèmes de l’amour, vu d’un côté obscur et décalé.


Au final, que dire ? Décriés, conspués à certaines époques, le Velvet Underground puis dans un second temps Lou Reed, en solo, ont été reconnus comme groupe/artiste ayant le plus influencé le rock. Le rock… mais oui, c’est bien de rock que l’on parle ; ni punk, ni expérimental, ni glam, le Velvet Underground et Lou Reed sont le rock. Ils en représentent l’essence même, et ce condensé de leur œuvre le montre bien. Indispensable donc, l’acheter et le ranger, en bonne place, dans sa médiathèque.

Quelques chansons :

 

 

vickmckey

vendredi, 23 avril 2010

Blast Up !

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A l'occasion de la sortie de leur dernier album, Rise Up, revenons, un tant soit peu, sur l'un des meilleurs groupes de rap américain de la décennie 90 : Cypress Hill. Le trio de Los Angeles prouve une nouvelle fois, à l'instar des Beastie Boys, que leur rap est bien plus rock que bon nombre de nouvelles formations « pop-rock » pauvrettes et gentillettes, et bien moins bling-bling que la plupart des rappeurs nouvelle génération. Ils seront, d'ailleurs, présent au Rock-en-Seine 2010.

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mercredi, 18 novembre 2009

Moment Musical

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Lady Gaga, les rend tous gaga !

 

Pardonnez moi pour ce jeu de mots absolumment nul mais il fallait bien le faire !

 

Cette artiste (chanteur, compositeur, interprête, auteur) est en vogue pour le moment, et je pense que cela continuera un bon moment.

 

En effet habituellement lorsqu'une personne est en vogue, elle le reste quelques temps pour quelques titres au maximum généralement des titres qui se ressemblent tous plus ou moins...

 

Or, Lady Gaga (de son vrai nom Stefani Joanne Angelina Germanotta), d'origine Italienne mais bien Américaine, s'inspire des plus grands : Madonna, David Bowie mais surtout Queen d'où son nom ( Radio Gaga). Elle joue d'ores et déjà dans la cour des grands puisque la plupart de ses confrères disent d'elle que c'est une artiste indétronable !

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01:35 Publié dans Musique | Tags : lady gaga, histoire, trendy | Lien permanent | Commentaires (7)

dimanche, 01 novembre 2009

And Also the Trees

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Au détour d'une ballade improvisée à Strasbourg, nous avons eu l'occasion de tomber sur une perle, un groupe datant des années 80, fantastiquement connu en France, en Allemagne, en Suisse, mais originaire de Grande Bretagne Island !

Trop anglais pour plaire aux anglais, ce groupe dénommé «  And Also the Trees » nom provenant d'un de leur premier morceau, nous a littéralement subjugué.

Fondée en 1979 et composé aujourd'hui

de Simon Huw Jones (Chant) dont la voix est absolument merveilleuse !

Justin Jones (Guitares, orgue, zither, accordéon)

Ian Jenkins (Basse et contrebasse)

Paul Hill (Batterie)

Emer Brizzolara (claviers, piano, dulcimer, guitare, percussions, melodica)

Nous avons eu le plaisir d'entendre plusieurs titres tout droit sorti de leur dernier album « when the rains come »

 

A la fois jazzy, un peu pop, voir même un peu « post punk » ou cold wave comme dirait l'autre, leurs morceaux parlent d'amour, et d'un peu de tout en général.

Difficile de tout comprendre à leurs morceaux mais nous sommes transportés dans un monde onirique, voir parfois transcendantal.

On voyage complètement en les entendant, et nous ressortons de leur concert dans un autre monde, une certaine tension dramatique se dégage du groupe.

 

Pour vous mettre un peu en haleine voici une petite chanson d'eux

A savoir quand même que ce groupe fut produit par « the Cure » et que beaucoup les ont comparés à « the velvet underground » entre autres...

désolé pour la qualité des vidéos mais j'ai pas trouvé mieux...

jeudi, 10 septembre 2009

Paris est magique !

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Eh non ce n'est pas un hymne de supporter aviné que je vous propose de reprendre en cœur mais un cri de joie après trois jours de concerts déments dans le domaine national de Saint-Cloud. Je veux bien évidemment parler du festival Rock en Seine édition 2009, l'un des plus importants du continent européen, qui se déroula du 28 au 30 août.

 

Certes, ceux qui auront suivi quelque peu l'actualité tempèreront cette allégresse car, pour la deuxième année consécutive (Amy Winehouse en 2008), une tête d'affiche annula son concert le soir même. Oasis a ainsi rendu fou furieux les dizaines de milliers de spectateurs présents vendredi soir mais a également - enfonçons le clou - mis fin à l'existence même du groupe. La faute aux deux crétins de frères Gallagher qui se sont littéralement fracassés la gueule à quelques heures du début du concert. Les pompiers, Samu et policiers ne semblaient pas de trop pour évaluer l'ampleur des dégâts, parmi lesquels des guitares retrouvées en mille morceaux après impact sur le crane de Liam et Noel.

Petite anecdote croustillante : lorsque la baston fut connue, le chanteur Kele Okereke de Bloc Party - qui jouaient avant Oasis - déclara sur scène "Le concert d'Oasis est annulé. Quel dommage ! Donc, j'imagine, par défaut, que nous sommes tête d'affiche".

 

Néanmoins, cette mauvaise surprise n'entama pas la motivation des 97 000 fans de rock, d'ici ou d'ailleurs, venus durant cette période se laisser emporter par cette déferlante musicale aussi éclectique que grisante. Et puis, un bon bain de poussière lors de pogos monstrueux ça ne se refuse pas.

En vrac, étaient de la partie, Just Jack, Ebony Bones, Keane, Metric, Cheveu, MGMT, Yeah Yeah Yeahs, Klaxons, Esser, Amy Macdonald, Yann Tiersen, Bloc Party, Macy Gray, Oasis...ah non, Slimy, Eagles of death Metal, Vitalic, Billy Talent, et surtout les incontournables Offspring, Birdy Nam Nam, Prodigy, Faith no More, Madness, Calvin Harris et Les petits pois. Concernant ce mystérieux dernier groupe il faut savoir qu'il cache en réalité un trio tant inattendu qu'explosif : les Them Crooked Vultures, réunissant Dave Grohl à la batterie (Foo Fighters et ex de Nirvana), Josh Homme au chant et à la guitare (Queens of the Stone Age) et John Paul Jones à la basse (Led Zeppelin).

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vendredi, 26 juin 2009

Michaël Jackson, Un roi est mort

 

 

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C'est à 14h26 (21h26 heure française) que La Star emblématique du Pop est décédée des suites d'un arrêt cardiaque.

Michael Jackson bien qu'accusé à tort ou non de renier sa couleur, était considéré pour beaucoup comme un "non noir-non blanc" bien loin de n'importe quel personne de couleur ou pas.

Et malgré certaines affaires judiciaires houleuses, il est resté le meilleur représentant de la Pop.

Il devait démarrer une tournée de concerts " it is me" à Londres à partir du 13 juillet, les milliers de place pour ces 50 concerts avaient été vendus moins de deux heures après leur mise sur le marché ! C'est dire si la star avait encore du potentiel !

C'était un peu un symbole, surtout un artiste exceptionnel qui s'est éteint. Star, mais pas seulement, musicien, chanteur, danseur, comédien même !

Il fut brillant lors de sa carrière de 40 ans puisqu'il commenca par les Jackson Five dès l'âge de 10 ans.

Il restera avec son parcours extraordinaire comme un King jamais égalé, et ses titres "Thrillers" ou "Billy Jane" ou encore "White or Black" resteront des modèles du genre.

A n'en pas douter suivra plusieurs articles traitant de son parcours, mais ce court résumé est une manière de remercier Michael pour nous avoir fait vibrer peu importe notre âge, notre sexe, notre nationalité, sans distinction ! On se souviendra de sa lutte contre le SIDA et de son discours en Afrique, ainsi que ses nombreuses participations à des oeuvres caritatives.

Lors de ses dernières apparitions publiques, il était apparu maigre et apparement malade.

Merci à lui, aujourd'hui le monde a changé, une étoile s'est éteinte.