mardi, 05 avril 2011
rayon musique : les albums de 2010 [Rétro de l’année musicale, partie 1]
A comme Arcade Fire. Je crois que tout a été dit, sur votre blog préféré (l’EPICier, je précise) par Ad. C’est ici.
B comme les Black… Keys, qui auraient aussi pu s’appeler les Blue Keys, tant certains passages vocaux ou solos de guitare me rappellent Elmore James, Ray Charles ou Muddy Waters (Sinister Kid, I’m Not The One). On peut juste regretter le léger manque de variété de Brothers, par rapport aux albums antérieurs. Par contre, mention spéciale pour la pochette de l’album.
C comme Elvis Costello. Tout comme dans sa carrière, il y a un joyeux melting-pot de personnalités et de chansons dans National Ramson, le dernier album de Costello, tantôt maître dandy crooner, tantôt meneur de ballades psychédéliques. Les univers explorés par l’irlandais sont multiples. Jimmie Standing In The Rain est appelée à devenir un classique.
10:28 Publié dans Insolite, Musique | Tags : musique, sélection, l'épicier, loisel julien, em strasbourg, sky at night, dépeche mode, happiness hurts, warren ellis, jessie james, nick cave, frederic chopin, eels, end times, tommorow morning, hombre lobo, damian marley, friends, arcade fire, black keys | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 19 août 2010
Jack The Ripper – Ladies First
Jack The Ripper – Ladies First

Jack the Ripper est un de ces groupes, pas toujours abordable, mais tellement séduisant pour peu que l'on fasse l'effort de s'y plonger. Car Jack the Ripper possède son ambiance, son univers, mélange d'instruments toujours savamment orchestrés au service du chanteur, Arnaud Mazurel, à la voix torturée mais toujours contrôlée.
07:50 Publié dans Musique | Tags : jack the ripper, ladies first, musique, arnaud mazurel, nick cave, univers mythologique, littérature anglaise et allemande, transexualité, hamlet song, référence à cocteau | Lien permanent | Commentaires (1)
mardi, 12 janvier 2010
Une offre qu’il ne pourra pas refuser

Il fait chaud, trop chaud, dans cette immense plaine aride qu'on appelle l'Australie, ce pays au bord de l'explosion. La chaleur suffocante semble figer les corps sur place ainsi que leur environnement exceptionnel (« foutu pays ! »). La sueur crasse se mêle au dégout qui se lit sur les visages du capitaine Stanley (excellent Ray Winstone) et de Charlie Burns (Guy Pearce). Ces deux hommes déterminés, aux deux extrémités de la loi, passent un marché secret et décisif. C'est le début de ce western impitoyable, The proposition, déployant une énergie féroce et mortifère.
02:43 Publié dans Cinéma | Tags : the proposition, nick cave, john hillcoat, australie, funèbre, brulant, chaud, bushrangers, mlancolie, coucher de soleil, emily watson, guy pearce, sylvain métafiot, ray winstone | Lien permanent | Commentaires (0)