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mercredi, 29 mai 2013

« Le mandat de maire est le plus beau des mandats » : Interview de Michel Havard

michel havard 23-05-13 f (2).jpgDernier entretien pour les primaires UMP des municipales lyonnaises dans le cadre de  notre cycle « CLIC pour 2014 » : Michel Havard, président du groupe municipal d'opposition « Ensemble pour Lyon » depuis 2008, candidat aux primaires lyonnaises de l’UMP, était notre invitée le  23  mai 2013 dans les locaux du Lyon Bondy Blog.


Pour l’interroger, l’équipe du CLIC était composée de Sébastien Gonzalvez et Naïma Aroussi du Lyon Bondy blog, de Pierre Gerbeaud de Free-Landz et de Jean-Philippe Bonan de Sens Public et de Forum de Lyon. A la technique : Patrice Berger de Radio Pluriel.


Ecoutez l'entretien en intégralité ici.

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mardi, 28 juin 2011

Politique-fiction

Pater, Alain Cavalier, Vincent Lindon, pouvoir, autofiction, documentaire, ironie,La Conquête, politique, Sylvain Métafiot,

 

Tiens, et si on jouait à la politique ? On dirait que moi je suis le Président et toi mon Premier ministre. Hein, qu’est-ce que t’en dis ? Voila, en substance, ce qu’Alain Cavalier aurait pu dire à Vincent Lindon avant qu’ils commencent ensemble cet étrange film qu’est Pater, mi-documentaire intimiste, mi-fiction politique (à moins que ce ne soit un documentaire politique parsemé de fiction intimiste, je ne sais plus), qui fait sourire autant qu’il émeut et qui ne cesse d’embrouiller le spectateur. Et on les regarde s’amuser comme des gamins, à jouer au Chef de l’Etat et au Chef du gouvernement (à moins que ce ne soit au papa et au fiston, je ne sais vraiment plus), sous nos yeux ébahis de tant de candeur et d’ironie. On se dit « c’est un véritable foutage de gueule ! Ils se moquent de nous ! », mais non, on se laisse attendrir par l’autodérision et contaminer par la drôlerie des situations. Et là, on a repense à La Conquête

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lundi, 30 novembre 2009

Schizophrenie Gouvernementale

 

Société

On a appris il y a peu que le ministre de l’Education nationale, Luc Chatel, a décidé de supprimer le caractère obligatoire de l’Histoire et de la Géographie en Terminale S. Ces deux matières deviendraient alors optionnelles, au même titre que le latin et le grec.

Le but clairement annoncé est de dissuader les candidats à des études comme Sciences-Po de passer par la série scientifique sous prétexte de sa réputation. Le ministre précédent avait déjà tenté un coup similaire en voulant rendre la Philosophie optionnelle, provoquant ainsi un tollé général, comme M. Chatel aujourd’hui. Le principal argument des professeurs de philo était simple : les scientifiques ont besoin d’une certaine culture philosophique, reprenant en cœur : « une science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Les profs d’Histoire nous ont aussi cité Rabelais pour défendre leur matière, mais ils ont d’autres arguments tout aussi percutants.

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mercredi, 24 décembre 2008

Joyeux Noël

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Toute l'équipe de mapausecafé, vous souhaite un joyeux Noël, et tant qu'à faire une bonne année 2009.

Que dire de Noël, si ce n'est que pour bon nombre de français il sera synonyme de paix et de tranquillité pendant au moins l'espace d'une réunion de famille.

Cette année comme jamais auparavant, Noël n'est pas attendu avec beaucoup d'impatience. En effet, la crise ou encore le moral en baisse ne fait pas de cette fête un moment privilégié.

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mardi, 23 décembre 2008

Les groupes d’intérêt

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La « crise de la représentation politique » chez les citoyens a fait émerger de nouveaux acteurs désireux de participer davantage sur le marché politique : les groupes d’intérêt.

Certains auteurs considèrent que si la « société des groupes d’intérêt » a pu émerger c’est, en partie grâce à l’apparition d’un système de gouvernance multi-niveaux.

Elle se caractérise par le fait que ce ne sont plus les gouvernements qui détiennent le pouvoir de décision, celui-ci devenant collectif ; que ces mêmes gouvernements perdent donc de ce pouvoir (exemple des votes à la majorité dans les instances supranationales) ; et qu’il existe des passerelles entre les instances nationales et extranationales.

La gouvernance multi-niveaux permet donc d’influencer les différents groupes d’intérêt nationaux dans leur apprentissage de la représentation. L’Etat étant un récepteur de leurs demandes.


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samedi, 22 novembre 2008

Le paradoxe du vote

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Préférer celui que l’on aime le moins, éliminer celui que l’on préfère !


En ces temps d’élections socialistes, un petit paradoxe électoral auquel les candidats et les électeurs ne songent pas assez.
Trois candidats se présentent à une élection : A, B et C. Des sondages font apparaître que A est préféré à B, B préféré à C et C préféré à A. Impossible ? Non. C’est en cela que consiste le paradoxe du vote dit encore de Condorcet (c’est ce mathématicien et philosophe qui l’a mis au jour le premier).


Normalement, les préférences sont transitives : si je préfère Rembrandt à Rubens et Rubens à Raphaël alors je préfère Rembrandt à Raphaël. L’ordre du pouvoir est également transitif : si le Président de la République a autorité sur le ministre et le ministre autorité sur le préfet, alors le président de la République a autorité sur le préfet. Mais il arrive que cet ordre soit violé. On l’a observé dans certaines relations entre animaux. Une poule dominante donne des coups de bec (sans en recevoir) à la poule dominée. Soit un trio de poules : Cocotte, Coquette et Caquette. Cocotte becquette Coquette laquelle becquette Caquette. Mais celle-ci becquette Cocotte : les relations de domination forment ici une boucle au lieu de constituer une chaîne, comme on aurait pu s’y attendre.


Condorcet a découvert que, si lors d’un vote le nombre de possibilités est supérieur à deux, alors on peut se retrouver devant ce résultat paradoxal : le candidat C préféré au candidat A alors même que A est préféré à B et B de C. C’est pour éviter un tel lézard que les démocraties modernes ont imaginé leur mode de scrutin (l’uninominal à deux tours ou la proportionnelle coupent court au paradoxe du vote). Cela dit, aucun système de choix collectif n’est parfaitement équitable.


Finissons sur une remarque intrigante et amusante des guignols de l’info à propos des résultats des élections du PS du 1er tour : « 25% de Bertrand Delanoë + 24% de Martine Aubry = 34%, tandis que chez Ségolène Royal 29 + 0 ont fait 43 ! » La logique des électeurs est parfois plus que paradoxale…

 

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Sylvain Métafiot

mercredi, 28 mai 2008

Free Tibet ?

Si vous ne pouvez pas lire la vidéo ci-dessous, rendez-vous ici : http://www.dailymotion.com/relevance/search/tibet%2Bjt/video/x5bz2y_journaldusoirfrance4-jo-tibet_fun