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jeudi, 26 avril 2012

De l’art de tailler des costards

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«  Le désir de faire de la politique est habituellement le signe d’une sorte de désordre de la personnalité, et ce sont précisément ceux qui ambitionnent le plus ardemment le pouvoir qui devraient en être tenus le plus soigneusement à l’écart. »

Arthur Koestler

 

Cela n’aura échappé à personne : la campagne présidentielle est sur le point de s’achever ! Et Dieu sait que durant ce genre de période d’excitation médiatique les livres politiques font flores. Qu’ils soient écrits de la main des candidats (rare) ou de celle de nègres[1] enchaînés dans les caves des QG de campagne (fréquent) la qualité littéraire est toujours la grande perdante de cette soudaine effervescence rédactionnelle. Il n’y a qu’à voir les titres desdits ouvrages pour préjuger du massacre : Changer de destin, Pour que vive la France, Le printemps français, Sans tricher, etc. On baille rien qu’à les énumérer. Cela pour dire que les croquis politiques proposés dans le dernier livre de Philippe Meyer, Sanguines, ne sont pas du même tonneau. Oh que non ! Vous n’allez pas vous ennuyer en attendant le second tour.



[1] N’appelez pas SOS racisme, il s’agit du terme adéquat, datant du XVIIIe siècle et homologué par l’Académie française, pour désigner l’auteur anonyme d’un livre signé par un autre. Si vous êtes chatouilleux vous pouvez toujours employer le terme « prête-plume », plus élégant, ou celui de « ghost-writer » carrément plus classe.

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mardi, 25 novembre 2008

ça sent le sapin !!

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Non rassurez vous on ne va pas parler de Noël approchant à grande vitesse, les médias s'en chargent pour nous... On va plutôt parler de la mort annoncée du PS.

Les primaires nous on montré tout ce que l'on ne voulait pas voir dans la vie politique française.

Hamon-Hollande-Aubry-Delanöe-Royal et toute la clique (j'allais dire incapables) n'ont pas su sortir le P.S. de la crise interne, préférant se contenter de lutter pour une prise de pouvoir (inutile presque) du parti !

Le PS, grand absent de l'actualité (j'allais dire grand absent tout court) depuis la déroute de Royal (oui avouons le c'était une déroute); est sous les feux de la rampe, pour des tristes raisons. (signalons au passage, Ségo n'a jamais reconnu publiquement sa défaite)

Dans la suite de l'article retour sur la plus grande crise du PS...

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