Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« Fuck ! | Page d'accueil | « Voir le soleil naître différemment », entretien avec Chico Whitaker »

vendredi, 09 novembre 2012

Déambulation diabolique

déambulation diabolique,faust,goethe,gérard de nerval,film,alexander sokourov,pacte avec le diable,Un monde en noir et blanc et en couleur,Christophe Lefevre,sylvain métafiot


« Pour lui comme pour Dieu sans doute, rien ne finit ou du moins rien ne se transforme que la matière, et les siècles écoulés se conservent tout entiers à l'état d'intelligences et d'ombres, dans une suite de régions concentriques, étendues à l'entour du monde matériel. Là, ces fantômes accomplissent encore, ou rêvent d'accomplir, les actions qui furent éclairées jadis par le soleil de la vie, et dans lesquelles elles ont prouvé l'individualité de leur âme immortelle. Il est consolant de penser, en effet, que rien ne meurt de ce qui a frappé l'intelligence, et que l'éternité conserve dans son sein une sorte d'histoire universelle, visible par les yeux de l'âme... »

Gérard de Nerval à propos de Goethe, dans son Introduction à l'édition de 1840 de Faust.

 

 

Lire les critiques de Christophe Lefevre et de Rémi & Goeffroy.

 

Sylvain Métafiot

Les commentaires sont fermés.