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samedi, 08 novembre 2008

"Yes We Can't"

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Comme tout le monde le sait, mardi dernier 4 novembre, Barack Obama a été élu, mais ce qui apparaît comme un véritable tournant de l'histoire se voit entaché par 4 votes assez ahurissants.

L'histoire commence il y a quelques mois, 6 pour être précis, la Californie comme d'autres États à savoir l'Arkansas, la Floride et l'Arizona, autorisent les couples de mêmes sexes à se marier.

Quelque temps après, des sénateurs et élus de la chambre des représentants saisissent la cour suprême pour demander un nouveau référendum pour demander au peuple si ils veulent amender cette proposition.

Donc pour faire bref, êtes vous pour la non autorisation du mariage pour les couples de même sexe.

 

dans la suite de l'article : une réflexion sur ce vote, ainsi que les résultats, suivi d'une petite vidéo facheuse je l'accorde sur le mariage...


 

Ainsi, c'est avec 52 % des voix qu'en Californie la proposition 8 a été accepté, pour l'Arizona, 56 %, la Floride accepte le retrait de l'autorisation du mariage gay avec 62 % des voix et 57 % en Arkansas.

Signalons, que tous les votes n'ont pas été dépouillé, et que de nombreuses personnalités, telles le maire de San Francisco, des artistes et d'autres politiques américains se sont dit indignés par un tel refus.

A l'heure du changement américain, tout ne change pas prendre le chemin de la liberté.

Obama, c'était déclaré non pas en faveur d'un mariage homosexuel, mais d'une union civile.

 

Voilà l'occasion idéale ou presque pour relancer plusieurs débats, d'abord sur le mariage homosexuel qui est autorisé dans quelques pays Européens, (Espagne-Hollande...)

Ensuite, sur le changement « Yes We Can » aux Etats Unis, qui finalement n'a pas réuni toute l'Amérique, rappellons que les Etats Unis, sont parmis les premiers dans la lutte contre l'homophobie et qu'on en parle beaucoup plus facilement que dans d'autres Etats Européens.

Ainsi peut on parler d'un réel changement de mentalité aux Etats Unis, les hétéros sont ils prêts à accepter les homosexuels et leur accorder les droits ?

Une vidéo qui fait réfléchir, je la qualifierai de honteuse mais il faut croire que tout le monde n'a pas l'esprit ouvert :

Je rappelle au passage le premier extrait de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme

"Les Hommes naissent libres et égaux en droits et en devoirs" ça marche pour tout : discrimination, commerce équitable etc...

Au delà de ces différents votes, l'un démocrate, l'autre plutôt anti démocrate, cela permet de redescendre un peu sur terre et de ne pas oublier que les Etats Unis, sont aussi coupés en deux, avec d'une part les conservateurs, les puritains et de l'autre ceux qui veulent moderniser le pays.

 

Pensez vous que les Français sont prêts au mariage homosexuel ?

Quant à l'adoption, je me permet de rappeler l'article sur le film « comme les autres »

http://www.mapausecafe.net/tag/adoption

et pour l'homophobie je vous rappelle également l'article sur Philadelphia et la lutte contre le VIH.

http://www.mapausecafe.net/archive/2008/10/08/attribution...

C'est la première fois aux Etats Unis, qu'un article de la constitution se voit amendé de la sorte...Ainsi il est maintenant impossible pour les homosexuels d'obtenir ce droit ci là bas...Sauf si un autre référendum est organisé. Que deviendront les 18000 couples homosexuels s'étant mariés depuis l'autorisation jusqu'à mardi ?

 

Commentaires

 

Pour répondre a la question "êtes vous pour la non autorisation du mariage pour les couples de même sexe", je dirais que les gens pas concernés arrête de faire chier...

La liberté d'un individu s'arrete là ou s'elle du prochain commence. Si des hommes ou des femmes veulent s'unirent avec une personne du même sexe, il devrait avoir le droit de le faire !!! Je ne vois vraiment pas où est le problème. Car là on parle même pas de l'adoption etc ... juste du fait d'avoir le droit de s'unir ...

Il y en a marre de toutes ces interdictions dictée par l'état surtout quand c'est des choses personnel.
Un exemple qui n'a rien a voir, mais le port de la ceinture est obligatoire ... Pourquoi ? Si je ne porte pas ma ceinture, je met ma propre vie en danger pas celle des autres alors quoi ?

Bref une decision qui ne m'étonne pas, mais que je ne trouve pas normale !!!

 

Je suis bien d'accord avec toi Accro : que les puritains et les vielles merdes réactionnaires arrêtent de se méler de la vie des gens qui ne pensent et ne vivent pas comme eux en cherchant à les brider dans leurs choix de vie.
La xénophobie envers les homosexuels développée dans cette pauvre vidéo est vraiment à gerber !

Je ne comprend pas pourquoi cette insupportable inégalité vis-à-vis du mariage et de l'adoption ne choque pas davantage les gens ? C'est purement scandaleux et ont entend toujours les ultraconservateurs, les passéistes, les bigots, les xénophobes, bref, tous les trous du cul gueuler contre cette "décadence occidentale", cette "monstruosité contre-nature", cette "insulte à la volonté de Dieu", etc. Par contre les progressistes, les éclairés, ne s'expriment que trop rarement pour défendre les droits incontestables des homosexuels, autant que pour tout autre individus.
Ne laissons pas les homophobes monopiliser le débat public et répondons fermement face à leurs délires naturaliste, religieux et réactionnaires !

D'ailleurs, la vidéo de chiotte nous montre des couples mixtes d'animaux prétendant que l'homosexualité est contre-nature : les crétins finis qui l'ont réalisé on plus lit la bible que leurs cours d'SVT : il existe des DIZAINES DE MILLIERS d'espèces animales qui sont homosexuelles, bande de nazes !

 

Par contre, pour ce qui est du port de la ceinture, c'est tout à fait normal qu'elle soit obligatoire car le rôle de l'Etat est aussi de nous protéger de nous-même et de veiller à notre sécurité (la loi interdisant de fumer dans les lieux publics ne vise pas à pénaliser les fumeurs mais surtout à protéger les non-fumeurs de ce poison). De plus, si lors d'un accident le passager de dérrière n'a pas sa ceinture, le mec de devant sera tué sur le coup sous l'effet de la projection avant.
Enfin, ayant connu des gens qui ont perdus des proches dans des accidents stupides de la route, je ne supporte pas les beaufs qui réclament la liberté de rouler comme des cons !

 

@ sylvain:
Avec ton histoire de passager arrière qui se projette sur celui d'avant tu marque un point je suis d'accord. Alors admettons que mon pauvre exemple, était dans le cas d'un conducteur seul dans sa voiture... lol

Et l'etat n'a pas besoin de me proteger de moi-meme ... qu'il s'occupe de ses fesses il a assez de problème a gerer ...

 

Sylvain t'es violent toi dans tes propos .......................
que tu sois sympathisant ou adhérant c'est ta vie, mais , ne manque pas de respect à ceux qui comme moi TOLERENT le mariage gay , mais CONDAMNENT l'adoption !

Et puis dans tes réflexions tu confonds tout, avec ta ceinture tu prends des risques mais ceux ci en feront peser quoi que tu fasses sur la vie d'autrui et du système de la santé en général... car relever une "simple torsion " de cou avec un type qui traverse le parebrise et devoir se faire refaire le visage, machoire, épaules ......., et si il y en a qui sont partisans Vivement qu'on oblige la capote comme la ceinture alors, pas vrai sylvain?? :=))) Ca évitera des dérapages

 

Revenons sur l'homosexualité. La ceinture n'était qu'une parenthèse.

Je tolère bien évidemment ceux qui ne pensent pas comme moi (si si je vous assure). Ce blog en est la preuve, sinon on aurait interdit les commentaires.
Cependant il convient bien sûr de préciser la tolérance s'applique au DROIT DE S'EXPRIMER et non à L'EXPRESSION MÊME.
Ainsi, Guignol, je respecte ton droit d'exprimer le fait que tu ne veuille pas que les homosexuels adoptent mais je trouve cette opinion-là complétement conne et réactionnaire.

En parlant d'études sur le vie d'un enfant dans un couple homosexuel (hommes ou femmes), beaucoup n'ont montré aucune différences avec un couple hétérosexuel. Au risque de me répéter, la vie d'un enfant est le fruit de son éduction à la fois parentale et scolaire. Parce qu'entre un couple homo stable, où les deux parents s'aiment, se respectent et élèvent normalement leur enfant, et un couple hétéro de beauf où le père boit, bat sa femme et son gosse, où la mère s'absente tout le temps et insulte le gamin ; quel enfant sera dans les meilleurs conditions de vie, hein ?
L'hypocrisie continue en sachant qu'un homme ou une femme seul peuvent adopter. Mais surtout pas les homosexuels, quelle horreur, quelle abomination !

Avec des gens comme toi, mon cher Guignol, le progrès va à rebours.

 

Voici le résultat de l'étude la plus complète menée sur ce sujet, elle ne s'est pas axée que sur un seul individu comme la plupart des recherches ( CNRS,APGL ...), elle en croise plusieurs et de tous âges, conclusion étant : "nous nous voyons contraints à plaider pour le bien du mineur et à demander qu’il ne soit pas accordé de mineurs en adoption aux couples de même sexe" :

Cette étude a été revue par le Dr. Williams en l’an 2000. Celui-ci a ajouté qu’il se détachait des résultats une estime de soi significativement faible, ainsi que des problèmes sociaux et émotifs chez des enfants de parents homosexuels.

A - Bailey et al. (95)
Il s’agit d’une étude de 85 enfants adultes (en moyenne de 25,3 ans) de parents homosexuels ou bisexuels. Les conclusions faisaient apparaître un pourcentage d’enfants avec une identité homosexuelle ou bisexuelle de 9 % quand la moyenne est autour de 1 % aux États-Unis – selon le rapport de Remafedi et de ses collaborateurs dans la revue Pediatrics en 1992 –, et autour de 3,7 % chez des adultes britanniques – Johnson et collaborateurs, The Lancet 2001 – alors qu’en France on le chiffre à environ 1 ou 2 % – ACSF Investigators (1992) –.

B - Cameron et Cameron (96)
Cette étude jouit d’un échantillon assez large – plus de 4000 sujets – de
12 personnes qui ont répondu à un questionnaire qui leur a été envoyé par courrier.

Parmi tout l’échantillon, 17 ont affirmé avoir au moins un père homosexuel. Les résultats montrent que 4 hommes sur 6 (67%) et 1 femme sur 11 (9%) ont eu une expérience homosexuelle et que 35% s’identifiaient comme homosexuels. On a même trouvé des différences très significatives quant à savoir s’ils avaient entretenu des relations sexuelles avec leurs parents. Le résultat a été de 5 cas sur 17 (29%) chez des enfants de parents homosexuels face à 28 cas sur 4623 (0,6%) chez des enfants de parents hétérosexuels.

C - Stacey et Biblarz (2001)

3. Il est significatif de constater qu’aussi bien le niveau d’études – 61,5 % avec des études universitaires – que le niveau économique – salaire moyen de 1969€, face à la moyenne nationale de 1031€ – des couples homosexuels soit très supérieur à la moyenne. À nouveau, nous assaille le soupçon de la sélection intentionnée.

L’échantillon d’enfants est composé de 25 enfants, 5 avaient entre 3 et 6 ans, 12 avaient entre 6 et 12 ans et les 8 restants entre 12 et 16 ans. On attirera l’attention sur le fait qu’on n’étudie pas un seul cas d’enfants de plus de 16 ans, malgré le fait qu’on disposait de 9 cas, puisqu’on nous empêche d’évaluer la répercussion de l’homosexualité des parents à un âge où l’orientation et l’identité sexuelle peut être correctement observée. À nouveau, plane sur l’étude le soupçon de la sélection intentionnée de l’échantillon.

Les chercheurs arrivent à se rendre compte aussi de ce problème et suggèrent d’ «élargir l’échantillon non seulement dans le nombre, mais aussi dans l’âge : interviewant des garçons et des filles majeurs qui ont vécu et grandi dans des foyers homoparentaux».

À nouveau nous nous trouvons devant une autre étude avec de graves déficiences, mais ici encore, il conviendrait de détacher certaines tendances qui se répètent plusieurs fois dans toutes les études.

Selon les auteurs eux-mêmes: «chez deux indicateurs étudiés, nous avons obtenu effectivement des différences significatives : le flexibilité dans les rôles de genre et l’acceptation de l’homosexualité, les deux avec des pointes d’homosexualité plus grandes chez les filles et les garçons de notre échantillon que chez ceux qui étaient compris dans leurs échantillons de contrôle». Malgré le fait que les chercheurs dans leur étude essaient de la déguiser sous la «tolérance» et de dire que la société voit bien que se cassent les rôles de genre, cette découverte confirme ce que les études suggèrent de façon claire ou cachée : il existe des différences. On pourrait discuter à savoir si ces différences sont désirables ou non, mais on ne peut pas discuter le fait que dans toutes les études on évalue une certaine tendance à ces différences.

Sans perdre d’une vue les déficiences de l’étude, il faut relever une autre donnée remarquable par son originalité : les mères biologiques assurent que seulement 36% de leurs fils voient leurs compagnes comme une figure «maternelle». C’est-à-dire, que les mères elles-mêmes observent que leurs enfants ne voient pas leurs compagnes comme une figure «maternelle».

D -. D’autres études
D’autres études indiquent d’autres variables à tenir en compte pour l’adoption par des couples de même sexe. Par exemple :

1. Cameron et Cameron (2002) réfléchissent sur les multiples problèmes d’identité sexuelle qui arrivent chez des enfants éduqués par des couples de même sexe.

2. Lewis (1980), malgré le fait qu’il soit favorable à l’adoption des enfants par des couples de même sexe, souligne des problèmes de cohabitation entre les enfants et la mère biologique ou sa compagne. Plusieurs enfants ont été emmenés par leurs mères à suivre une thérapie, et après les avoir interrogés, ils identifiaient la thérapeute, selon les mots de Lewis, comme «la co-conspiratrice de leur mère». Lewis affirme qu’après quelque rendez-vous manqué avec une personne du sexe opposé, certains enfants se demandaient s’ils allaient sortir avec des personnes du même sexe, et que quelques-uns affirmaient même que s’ils racontaient leur échec à leur mère, elle les encouragerait à essayer avec des personnes de son propre sexe .

3. Deevy (1989) indique que les enfants avec des parents homosexuels manifestent des symptômes de stress, de colère envers leur père/mère biologique ou son compagnon/sa compagne, de faible estime de soi, un plus grand indice de dépendance à la drogue et une tendance à s’automutiler. Dans le même sens, Osman (1972) étudie une relation orageuse d’un fils de 16 ans avec la compagne de sa mère.

4. Javaid (1993) réalise une étude des enfants de mères homosexuelles, nés d’un mariage hétérosexuel antérieur. Il trouve que les enfants eux-mêmes «manifestaient certaines réserves» envers la mère homosexuelle, certains avaient même une mauvaise relation avec elle. De plus, ils se montraient incertains quant à une vie en couple future et quant à avoir des enfants. Javaid souligne que d’habitude les enfants préféraient vivre avec leurs pères, puisqu’ils ne s’identifiaient pas avec l’expérience homosexuelle de leur mère.

E - Tripp (1998) soutient que l’absence d’un père ou d’une mère a des conséquences préjudiciables pour la santé physique et psychique de l’enfant.

F -. Dans plusieurs revues scientifiques de psychiatrie américaines, comme le Journal of American Academy of Child and Adolescent Psychiatry ou Health Psychology et des études comme Welch, Collings et Howden-Chapman (2000) ; Rothblum (1990) et Sandfort, de Graaf, Bijl et Schnabel (2001), il est dit qu’il y a une probabilité beaucoup plus forte pour que les gays, les lesbiennes et les bisexuels souffrent de maladies mentales, aient plus de conduites sexuelles de risque et en général, une santé beaucoup plus détériorée que les couples hétérosexuels.

Dans Remafedi (1994a) et Remafedi (1994b) 239 hommes homosexuels et bisexuels ont été interviewés. 42% affirment avoir subi des abus sexuels étant mineur. Dans le même sens, Doll et al. (1992) en trouvent 40.8%.

G - Goode et Troiden (1980) affirment que, dans un échantillon de 150 hommes homosexuels âgés entre 30 et 40 ans, 69% ont eu un contact sexuel avec un mineur7 depuis qu’ils ont eu 21 ans, bien qu’ils précisent que seulement 9% de ces mineurs avaient 16 ans ou moins. Ils indiquent que 45% avaient eu 6 compagnons sexuels mineurs ou plus, 78% avaient fait partie d’un groupe d’échangistes et 65% avaient eu plus de 100 compagnons sexuels jusqu’alors.

La fameuse macroétude de 1994 «The Social Organization of Sexuality : Sexual Practices in the United States», où sont indiquées les habitudes sexuelles aux États-Unis, donne les données suivantes à propos de la stabilité des couples homosexuels :

- Nombre moyen de compagnons/compagnes sexuel(le)s au cours de la dernière année : 1,2 chez les hétérosexuels face à 8 chez les homosexuels.
- Nombre moyen de compagnons/compagnes sexuel(le)s dans la vie : 4 face à 50.
- Personnes interrogées qui se déclarent monogames, c’est-à-dire 100% fidèles à son compagnon ou à sa compagne : 85% face à moins de 2%.

Kurdek et Schmitt (1986) indiquent que les relations homosexuelles sont beaucoup plus instables. Duffy et Rusbuilt (1985-86) soutiennent que les couples d’hommes homosexuels sont plus stables, mais les données apportées montrent une claire divergence. Sans inclure les mariages, 41% des hommes homosexuels, 76% des hommes hétérosexuels et 88% des femmes hétérosexuelles se déclarent 100% fidèles à leur compagnon/compagne. Rothblum (1990) montre la même chose pour les lesbiennes.

Brooks (1989) indique que les aventures sexuelles des parents ont un effet négatif chez les enfants.
14. Selon Miller et al. (1980), qui réalise une étude des attitudes de plusieurs femmes hétérosexuelles et homosexuelles, les femmes homosexuelles ont des attitudes négatives envers les hommes. Dans ce sens, il cite Loney (1973), qui reprend la réponse majoritaire des femmes lesbiennes étudiées, qui croient que les pères – masculins – ne traitent pas bien leurs enfants. Miller fait un résumé de faits dans lesquels il lie cela à une pauvre ou mauvaise relation des femmes homosexuelles avec leur père, en se basant à son tour sur d’autres études préalables. Entre autres, Bell (1978) ; Caprio (1954) et Saghir et Robins (1973).

15. Herrell et al. (1999) réalise un rapport sur orientation sexuelle et suicide. Fergusson et al. (1999) fait également un lien entre les deux. La Fédération d’Associations de Gays, Lesbiennes et Transsexuels (FEGLT) elle-même dispose dans sa page Web d’un document en français sur la tendance au suicide des jeunes homosexuels.
16. Selon l’INE, le nombre d’hommes atteints par le SIDA en juin 2003 dû à un contact sexuel est de :
- Homosexuels/bisexuels : 9.058 hommes
- Hétérosexuels : hommes 5.899 hommes
- Inconnu/Ne répond pas : 2.402 hommes
En supposant que la catégorie «Inconnu/Ne répond pas» est formée uniquement par des hétérosexuels, et en supposant une limite maximale de la population homosexuelle masculine en Espagne de 3,3%, nous obtenons que la probabilité d’être atteint par le SIDA se multiplie quasiment par 4 pour les hommes homosexuels.

17. Selon un rapport d’Andersson, G. et al. (2004) «Divorce-Risk Patterns in Same-Sex ‘Marriages’ in Norway and Sweden», les unions homosexuelles en Suède – union homosexuelle avec les mêmes conséquences que le mariage, y compris l’adoption depuis 1995 – et en Norvège – où seule l’union homosexuelle est légalisée depuis 1993 – ont un risque de divorce supérieur à 50% pour les gays et à 167% pour les lesbiennes. S’il l’on contrôle les variables démographiques qui provoquent un risque de divorce, la situation n’est pas meilleure : 37% de plus pour les gays et 200% pour les lesbiennes. Si l’on tient compte qu’en Suède il y a 53 divorces pour 100 mariages, le nombre de divorces chez les homosexuels acquiert une proportion encore plus élevée.

18. Des études relatives à la Hollande, de Xiridou et al. (2003), montrent que la durée moyenne d’une relation «stable» entre homosexuels est d’un an et demi.

19.Selon Deneen (1994), toujours à propos de la Hollande, le nombre moyen de compagnons chez des personnes homosexuelles pour une relation stable est de 2,5 la première année, et arrive à 11 la sixième année, bien que, reconnaît l’auteur, peu sont les couples homosexuels qui arrivent à la sixième année. McWhirter et Mattison, dans leur étude de 1984 se voient contraints de constater que chez les couples homosexuels la fidélité sexuelle n’existe pas, bien qu’ils le justifient en soutenant que la vraie fidélité est la fidélité émotive –

20. Orejarena, Cortés, Avila et Santelis ; ainsi que Barlow et Durand ; Belloch, Sandin et Ramos et Green, indiquent que le trouble de l’identité sexuelle – identification avec le sexe opposé –, défini comme un trouble par les manuels de psychiatrie, est dû à un manque de modèles paternel ou maternel. On parle aussi comme cause de l’excès de zèle maternel ou paternel. Belloch et al. vont plus loin et indiquent que souvent la cause peut être de forcer l’enfant à adopter les comportements du sexe opposé, et que parfois ils sont encouragés à cela par leurs propres parents. Person et Ovesey (1983) se prononcent dans le même sens.

21.Biller (1971), (1974) et (1993) regroupe plus de 1000 études et articles sur l’importance du rôle paternel dans le développement de l’enfant, et, contrairement à Judith Stacey, il trouve que celui-ci est très bienfaisant pour l’enfant. Pedersen (Ed.) (1980) et Radin et al. (1991) vont dans le même sens. Ces derniers trouvent que, dans des foyers monoparentaux, où il y a seulement une mère, l’influence du grand-père est bienfaisante pour l’enfant, tandis que ces bénéfices se perdent si seule la grand-mère est présente. L’auteur conclut que la présence d’un rôle masculin pour l’enfant, en absence du père, est bienfaisante et vice-versa. C’est-à-dire, que l’absence de ce rôle est préjudiciable.

22. Morgan (2001) réexamine 144 rapports sur le sujet et conclut que beaucoup d’études comprennent de graves erreurs et carences, que beaucoup – y compris celles qui sont favorables à l’adoption homosexuelle – montrent une tendance à l’homosexualité des enfants, que la confusion de genre est habituelle chez les filles de lesbiennes, que sont également habituels les problèmes psychologiques chez les enfants, etc. De plus, elle reprend des rapports des Etats-Unis, de Grande-Bretagne, de Hollande et de Nouvelle-Zélande où il est indiqué que le mariage dans le sens traditionnel du mot est le meilleur cadre pour élever les enfants.

23. Heineman (2004), une personne favorable à l’adoption par des personnes du même sexe, a une vision des rôles masculin et féminin différente de la vision qu’on trouve habituellement dans la littérature favorable à l’adoption. Heineman ne dit pas que la mère – dans le cas de couples gays – ou le père – pour les lesbiennes – n’est pas nécessaire, mais il suggère que l’enfant dans ces cas doit assumer l’absence du père ou de la mère. C’est-à-dire, selon Heineman, que l’enfant a deux pères et une mère qui n’est pas présente, ou deux mères et un père qui n’est pas présent.

24. En général, Bronstein et al. (1993) assurent que les enfants qui ne font pas partie d’une famille traditionnelle ont plus de problèmes psychologiques, une conduite plus mauvaise en classe, des notes plus médiocres, une faible estime de soi, etc.

25. Daily (2001) réalise une très bonne approche du problème des études sur l’adoption homosexuelle. Il réexamine la promiscuité sexuelle et la santé des couples homosexuels, ainsi que les problèmes d’identité sexuelle chez les enfants, en analysant tout spécialement l’incidence des différents rôles que le père et la mère représentent, en indiquant qu’ils ne peuvent pas être assumés par des couples du même sexe.

26. Asch (1997) est un résumé d’expériences de mères lesbiennes avec leurs enfants. Certaines mères décrivent leurs enfants avec des symptômes de Troubles d’Identité Sexuelle. Y est décrit le cas particulier du fils de l’auteur, et quelque anecdote très significative, comme lorsque l’institutrice demande aux enfants de se diviser, les garçons d’un côté, les filles de l’autre, l’enfant en question reste au milieu. L’auteur, loin d’y voir une conduite étrange chez l’enfant, accuse la société de ne pas s’adapter à son fils.

27. Turner et al. (1990) montrent que les mères lesbiennes sont ouvertement hostiles aux rôles masculins. Ainsi, dans l’étude on peut observer des attitudes telles que se refuser à offrir aux enfants des jouets associés au rôle masculin.

28. Saakvitne (1998) et Eisold (1998) ont soutenu une discussion à propos du cas d’étude suivant. Il s’agit d’un cas d’étude qui présente un fils de parents gays qui identifie l’employée de maison comme sa mère. L’enfant croit que les mères sont «embauchées et licenciées». L’enfant souffre psychologiquement après le renvoi de l’assistante pour s’être insérée émotionnellement dans la vie de l’enfant, et en plus l’arrivée à la maison d’un autre frère adopté. Vue la situation, le couple homosexuel décide de lui faire suivre une thérapie. Le thérapeute découvre que l’enfant amassait de l’argent depuis quelque temps, en pensant que s’il en réunissait suffisamment, il pourrait, selon ses propres mots, «acheter une autre maman». A la vue du cas, Eisold conclut que les enfants se développent mieux dans des foyers avec un père et une mère, et que telle nécessité ne provient pas d’une imposition sociale, mais d’un impératif biologique, puisque personne n’a appris à l’enfant à avoir besoin d’une mère – c’est plutôt le contraire – et cependant, celui-ci l’identifie chez l’assistante et ressent la nécessité d’en avoir une.

29. McCandish (1987) est une étude sur des couples de lesbiennes qui recourent à l’insémination artificielle. On y trouve une conduite similaire à l’antérieure, qui montre une relation peu claire entre la compagne de la mère biologique et le fils. Un enfant essaie d’appeler la compagne de sa mère «papa» et toutes deux lui expliquent que cela n’est pas adéquat. L’enfant explique la situation à ceux qu’appellent au téléphone demandant son père, et leur dit qu’il est avec la compagne de sa mère à qui la personne au téléphone veut parler.

Dans le même article, McCandish raconte que les enfants depuis l’âge de 4 ans demandent aux hommes «qu’ils soient leurs papas», demandent où est leur papa ou expriment leur désir d’en avoir un.

«Les enfants ont-ils le droit de connaître leur père ? Cela leur nuira-t-il psychologiquement de ne jamais le connaître ? Comment le couple expliquera-t-il qui est son père ? Aucune de ces questions n’est une question simple» dit Pies à ce sujet dans Pies (1985).
De plus, McCandish assure que l’arrivée du fils a été un impact plus ou moins grand pour le couple et que certains se posaient même la question de la séparation.

30. Pies (1985) explique certains des conflits des couples de lesbiennes pour avoir des enfants par insémination artificielle, puisque parfois, les deux veulent être inséminées et qu’elles doivent décider laquelle des deux, ou si les deux le seront et dans quel ordre. Il indique aussi des problèmes chez le couple pour l’affection de l’enfant. Dans ce sens, Agbayewa et Oluwaafemi (1984) montrent aussi des problèmes chez le couple, dans ce cas de jalousie pour l’affection de l’enfant.

31. Bien que Cramer (1986) soutienne qu’il n’existe aucune évidence pour qu’un père gay repousse son fils, Robson (1997) montre plusieurs cas démontrant le contraire.
Il y a beaucoup d’autres facteurs à considérer que l’on pourra trouver dans les multiples études citées dans la bibliographie.

22 5. Conclusion
Contrairement à ce que beaucoup de chercheurs affirment la somme de beaucoup d’études invalides ou déficientes ne permettent pas de tirer des conclusions valides ou suffisantes. Cependant, après un examen étendu de tout type de rapports relatifs à l’adoption par des couples homosexuels, nous observons que les différents chercheurs ne sont pas d’accord entre eux, encore que, on peut argumenter qu’il existe un doute raisonnable sur l’aptitude des couples homosexuels à adopter, du fait que aussi bien les études bien contraires à l’adoption que beaucoup de celles qui y sont favorables, indiquent des différences chez les enfants élevés par des couples homosexuels. En se basant peut-être sur certaines idéologies au lieu de se baser sur les évidences, certains auteurs essaient de cacher leurs découvertes ou de les nuancer comme si les différences trouvées étaient «bienfaisantes».

D’un autre côté, nous avons nommé et expliqué de nombreuses études qui, sans entrer dans la thématique homosexuelle, donnent des conseils aux familles formées par un père et une mère pour l’éducation des enfants, nous parlent de la nécessité de stabilité du couple, la multitude de données confirment de manière impartiale l’instabilité inhérente aux couples de même sexe. D’autres études montrent, par exemple, une plus grande tendance chez les personnes homosexuelles à être affectée de maladies psychologiques, révèlent un degré élevé de cas de troubles d’identité sexuelle chez les enfants élevés par des homosexuels, ou encore indiquent un rejet du compagnon ou de la compagne homosexuel(le) du père ou de la mère biologique de la part de l’enfant ou la recherche du référent absent – père ou une mère.

Les considérations éthiques ou morales mises à part, dans lesquelles ce document ne prétend pas entrer, il est prudent de tenir compte d’autres considérations d’un caractère pragmatique, comme la situation de l’adoption en Espagne. Selon la Secrétaire d’État des Services Sociaux, Familles et Incapacité, l’Espagne est le premier pays d’Europe à adopter. 80 % des enfants qui sont adoptés par des Espagnols viennent d’autres pays puisqu’aujourd’hui il est très difficile d’obtenir en adoption des mineurs espagnols, parce qu’il y a beaucoup de demandes de couples espagnols. Des 5541 enfants adoptés l’an passé (2004) à l’étranger, 2.389 proviennent de Chine, 1.618 de Russie, 349 d’Ukraine et 256 de Colombie. Malgré les informations du Gouvernement, ces pays refusent l’adoption aux couples du même sexe. Nous nous demandons si on ne courra pas le risque de condamner à une enfance d’orphelinat plus de 5.000 enfants chaque année quand les pays où se réalisent ces adoptions se refuseront à les octroyer, par crainte que ne s’accomplisse pas leur loi.
En commençant ce document nous avons choisi le bien-être de l’enfant comme priorité. Après avoir vu la situation de l’adoption en Espagne et après avoir repassé la bibliographie disponible sur le sujet, nous ne pouvons pas assurer en aucun cas l’aptitude des couples homosexuels pour adopter des enfants. Ainsi donc, devant le doute que pose une telle quantité de bibliographie, nous nous voyons contraints à plaider pour le bien du mineur et à demander qu’il ne soit pas accordé de mineurs en adoption aux couples de même sexe.

Voici les liens pour ceux qui seraient homo et veulent quand même en savoir plus :

http://www.apgl.asso.fr/
http://www.homoparentalite.org/
http://www.colage.org/

Pour en finir je pense que le plus dur pour ces enfants est LE regard des autres sur eux, et toutes les insultes que les autres enfants peuvent débiter.

Rappellez-vous ceux qui avaient simplement un peu de bide, lunettes, grand et maigre, appareil dentaire, des boutons d'acné, un cheveu sur la langue etc... rappellez-vous comment les autres enfants les traitaient, peut être même ça vous est arrivé; alors imaginez-vous un enfant d'homos face à tout un collège de 600 gamins ...

Lorsque l'on aura fait une reconnaissance progressive du statut de couple homo et que cela sera rentré dans les moeurs , alors OUI on pourra parler d'adoption, donc laissons passer les années et que les enfants prennent l'habitude que cette "différence" fait partie de notre vie même si elle ne fait pas partie de notre culture. On a 2 générations d'avance
Bonne journée

 

MDRRRR incredible :=))))))))

Vous savez une fois que l'on a tapé un message on doit taper un code lettre pour ètre sur que ce n'est pas un bot qui essaie de passer, moi il m' a demandé

DqPD

c'est juré je ne l'invente pas
mdr :=))))))))))))))))))))

 

Impressionnant ton commentaire Guignol. Vraiment.

Trop long à mon goût par contre : je n'ai pas tout lu. Mais je percoit l'idée générale.
Il est certain que l'on peut-être avant-gardiste en réclamant le droit d'adopter pour les homosexuels même si la société n'est pas prête et les mentalités pas assez ouvertes. C'est un difficile conflit je suis d'accord.
Je comprend également le regard et la souffrance qu'un gamin ayant deux mamans ou deux papas peut éprouver à l'école ou ailleurs.

MAIS, je pose la question : à l'école, si l'enfant est charié à longueur de journée à qui incombe la faute ? Aux préjugés des autres enfants pas bien futés (car mal éduqués, leur parents ne leur ayant pas assez appris la tolérance et le respect de l'autre) ou à l'amour que ses parents homosexuels éprouvent l'un envers l'autre et envers leur fils ou fille ?
Ce qui est dingue c'est qu'on transforme les victimes en coupables : si on se moque cruellement des homos (et des éventuels enfants d'homos) se seraient de leur faute (coupables de s'aimer) et non de la faute de ceux qui les insultent et les méprisent !
Avec cette logique on peut avancer que si des noirs ou des beurs sont victimes de racisme c'est leur faute car ils ne sont "pas comme nous" c'est-à-dire blanc et catholique : pour ne pas se faire traiter de "bougnoule" ou "negro" ils n'ont qu'a changer de couleur de peau et faire le signe de croix !
Pour enfoncer le clou, l'une des pratiques de l'antisémiste est de rendre les juifs responsables de la Shoah. Lors du concours de caricatures antisémites organisé à Théréran par Ahmadinedjad on ne voyait que ça : des juifs tenant le rôle de nazis et de tortionnaires.
Je repense aussi aux propos de ce député d'extrême-droite Christian Vannestte qui aboyait sur tous les fronts que l'homosexualité est une menace pour l'humanité, rien de moins ! C'est le vieux fantasme de "vague homo" qui remplacerait les hétéros et condamnerait la race humaine. Avant on avait le fantasme des étrangers qui nous envahiraient ou des juifs qui contrôleraient le monde, désormais ce sont les homos le fléau mondial...

Je n'affirme absolument pas, Guignol (et ceux qui sont contre l'adoption en général), que tu soit raciste et antisémite mais il est très dangereux d'user de la rhétorique qui transforme les bourreaux en victimes et inversement.
La seule chose dont les homosexuels soient coupables c'est de s'aimer comme n'importe quel couple (éventuellement de se marier) et de vouloir, éventuellement, élever des enfants comme les autres familles.

Sinon, le hasard est bien farceur pour ton code ^^

 

Idem je n'ai pas eu le courage de tout lire, mais honnetement je trouve que ce genre d'étude n'est déjà pas représentative, il faudrait une étude plus longue etc... car plus on va augmenter l'échantillon et plus les résultats seront fiables...
ensuite je ne vois pas le rapport "les homos ont des résultats avec des mineurs" quite à la faire passer pour des pédophiles !! n'importe quoi, je suis certain que le monde homo n'est pas comme ça...
les homos ont tendance à etre plus infecté par le vih : oui à cause des muqueuses, et de la non prévention pendant un moment dans le milieu homo.
bref, étude inutile, discriminante,raciste, déguelasse et injuste...
ok les enfants d'homos seront peut être (et c'est sur avec des guignols dans ton genre lol) à l'école, etc... mais ca ne sera pas la faute des homos qui s'aiment, veulent adopter et vivre normalement !
Je crois que tout est dit, pour moi ceux qui sont contre sont intolérants, et manquent de jugeote, même si on peut qualifier ceux qui sont pour d'égoiste car ne pensant pas au bien être du gamin... (niveau des brimades à l'école)
alors pour ceux qui sont contre, si vous voulez continuer à refuser l'adoption : dites à vos gamins qu'être pd n'est pas normal, qu'il faut les insulter, conseil : dire le plus de fois pd dans la même journée "mais t'es qu'un pd"
dis leur que des pd sont des fiottes et qu'on le reniera si il l'est
et voilà comme ça pendant encore au moins une génération les homos seront discriminés et se verront des choses refusés car la société n'est pas prête et ne progresse pas : elle est pas belle la France ?

 

Merci mais c'est une lecture qui vaut la peine d'ètre lue, dommage que ce ne soit que des stats et que au final il ne manque que le mot .....
AMOUR !!!
Puisque un enfant attendu doit ètre aimé par un couple qui s'aime déja.
et ce mot AMOUR ,peut nous faire lever des montagnes, comme HAINE dans d'autres circonstances.

Pour en revenir à ton texte Sylvain :

Bougnoule : c'est les allemands qui ont nommé ainsi les français d'origine noire et ceci depuis la 1 ère guerre mondiale; la légende disant que face aux bruits des canons et des armes, de façon à leur donner du courage, on leur faisait boire de la gnôle "gnoule"

 

zuttttttttt ça m'a coupé de mon texte , je continue :
...on leur faisait boire de la gnôle "gnoule"........ et aboule ( amène ) donc aboule la gnoule est devenu bougnoule, à la 2 nde guerre mondiale, nos ennemis les allemands ont alors qualifié tous les "colorés " se battant au coté des français Bougnoule, ce mot est resté dans le dialogue populaire, maintent on dit que c'est raciste alors qu'à l'époque et devant les monuments aux morts on voyait pleurer des officiers rendant hommage ainsi à leurs gars :

" j'ai eu les plus vaillants des combattants, des gars à qui j'ai offert de partager ma vie et mes combats, qui me l'ont rendu au centuple et qui sont mort pour notre patrie !
je dis merci à tous mes bougnoules et notre mère patrie se doit et à le devoir de subvenir à leurs familles et enfants, ils ont sauvé par leur courage notre nation "


Négro : Alors là c'est du "blancfrançaistoutpropretquisoffusque", en afrique francophone quand tu vas là bas on se dit entre noirs : salut négro , c'est comme aux states : salut brod' ou alors en france salut mon pote
c'est un vieux , vieux, vieux terme dont l'étymologie remonte à très loin : lorsque les scientifiques anglais se sont penchés pour décrire la morphologie des noirs ils se sont donc appuyé sur un des "canons" de la race pour en faire une référence : le Roi d'Ethiopie que l'on nomme NEGUS .........
Négroïde étant l'adjectif qui qualifie cette race de par sa MORPHOLOGIE, et depuis des âmes bien pensantes veulent nous faire la morale.

Quand je vais dans une de nos îles soeurs ça ne me gène nullement d'ètre traité sde ZOREILLES ça m'amuse même, mais y a des saintes nitouches qui l'ont ouvert et donc on va interdire à cause de ça le terme Négro et le terme Zoreille pour cause de racisme ?? arff :=) On est tous différents, par contre laissons notre argot vivre et condamnons par contre les VRAIS actes racistes.

 

@didier Cette étude est longue et fasidieuse à lire mais est somme toute révélatrice du non-bien-ètre ( statistique et mathématique ) de vouloir confier à un couple homo des mineurs.
Mais je te rejoins aussi dans le sens où il y a des milliers d'enfants qui souffrent en étant chez un couple hétéro et qui serarient 100 fois mieux chez un couple gay s'aimant.
A un moment ce n'est plus un problême de stats mais de conscience et surtout de coeur !
Pensons à ces gamins avant de vouloir se la péter réactionnaire, révolutionnaire, novateur et moderne

 

Justement, où sont ils les enfants dans ceci ?
Dans aucune de ces études on ne demande aux enfants ce qu'ils veulent et c'est bien dommage....
ps guignol comment connais tu notre site ?

 

C'est toi qui m'a invité didier :

Pour mémoire :

Les impôts pour les nuls... explications simple
Didier42 il y a 36 jours (via www.mapausecafe.net )
Vous n'avez jamais rien compris aux impôts ça tombe bien, pour vous l'équipe de mapausecafé, vous les explique :

D'abord, petite histoire de l'impôt, on situe son origine au moyen âge, les seigneurs qui faisaient collecter de l'argent par une personne (le receveur).Plusieurs types d'impôts existaient, les plus fameux étant la gabelle et la dime (impôt sur le sel très utile à l'époque).

Petit à petit l'impôt est devenu plus juste, au Moyen-Age et jusqu'à Napoléon, et encore jusqu'à 1920, les impôts étaient souvent collectés de manière aléatoire en fonction de la personne...

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guignol381 ,
Court , simple, concis , j'ai aimé: joli didier

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Didier42 ,
merci !
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guignol381 ,
C'est beaucoup mieux ce genre d'article que de tomber dans la facilité d'insulter ... le pape non ? :=) sans rancune, à part ce loupé ton blog mérite d'ètre connu
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Didier42 ,
merci beaucoup, ton commentaire me touche, en fait on est trois rédacteurs, (deux admins et créateurs du blog) l'article sur le pape ne venait pas des admins mais d'un auteur, qui d'ailleurs a vu ses droits sur le blog diminuer on valide ou pas ses articles à présent !
Bonne continuation et à bientôt sur notre blog ^^
si tu as un blog laisse nous un commentaire directement sur notre blog...
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guignol381 ,
J'ai pas de blog man , je n'ai rien à promouvoir , par contre le tien me plait et 'article ci-dessus que tu as posté aussi.
ce qui m'étonne c'est que tu n'ais pas reçu de cliks alors que t'as des daubes qui arrivent en home :=( étrange !! mais ça c'est les mystéres de scoopéo, n'hésites pas à poster ici car à mon avis vu la qualité de ton blog il va pas tarder à ètre reconnu si chacun s'attarde à le lire un tant soit peu.

Bon courage
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biquet ,Merci Guignol !
Je suis l'autre admin du blog !
Tes commentaires nous font vraiment plaisir ! C'est important pour nous, c'est notre moteur. En effet, on ne veut pas mettre de pub, c'est juste pour le plaisir de bloguer !

Allé, à bientôt j'espère !

Alexis de mapausecafe.net
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Didier42 ,
Salut Guignol !
Après avoir discuté avec Biquet, et relu tes différents commentaires sur divers site nous te proposons de nous contacter à travers notre site : mapausecafe@gmail.com et pourquoi pas si ca t'intéresse et que tu correspondes au profil recherché de rejoindre notre équipe ponctuellement ou temporairement.
Tu écris bien, et tu semble être bien au courant de l'actualité etc...

Donc sur ce, si tu l'acceptes écris nous.
A bientôt
Les admins de Mapausecafe.net
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Conclusion: ben v'la je suisv'nu, ai poussé la porte, allumé la lumière et je fais une p'tite pause histoire de voir, si ma présence dérange pas trop, pas d'inquiétude, je serais repartir discrètement sans bruit les zamis si vous en avez envie.

 

Demain je fais le test : le premier beur que je vois je le traite de bougnoule et le premier noir je le traite de négro.
Et avant qu'ils me cassent la gueule j'essayerais de leur expliquer l'origine de chaque mot. Ils vont apprécier c'est certain... et même me remercier de leur avoir ouvert les yeux. Désormais, chaque fois qu'un facho les insultera de la sorte il lui feront un grand sourire en signe d'amitié.

Aaaah, comme j'aimerais vivre dans ton monde Guignol....

 

t'as oublié dans la collection: portos, ritals, schleus, rosbeef, boches, ...
bon alors ?
Jamais je ne dirais un de ces mots pour parler de ces personnes mais saches qu'ils existent,
et le RESPECT impose que l'on en fasse abastraction, mais quoi que tu y fasses ce sont des mots qui sont présents dans l'argot français ... et qui sont considérés comme insultes depuis que des gens pleins de compassion y ont mit leur nez . imagines toi que je t'insulte de .... : JEAN MARTIN !

Tu ne comprends pas et tu te casses, et c'est normal, alors saches Sylvain que si on a appellé les Boches: boches c'est que le plus répandu nom des allemands était BOSCH etc ... et maintenant on dit aussi que c'est raciste ce nom

 

Une petite réflexion pour les admins: je n'ai pas pour habitude de me relire et en général, hors textes longs, je clique enter à chaud.
bilan je me trouve avec parfois des gamelles comme "abstraction" ou des fautes de français en pagaille.
y aurait il un moyen d'y remédier genre scoopéo avec l'edit ?

 

Au faites les 2 boss du site suis-je toujours invité ou évité ?

 

Je me permet de répondre à leur place : bien sûr que t'es invité. Si dans un blog de débat et de confrontation des idées on rejetaient tous ceux ne pensant pas comme nous, on seraient bien seul, et cela serait amplement mérité.
mapausecafé ce n'est pas le goulag

 

Oui tu es toujours le bienvenu !

 

Je reviens sur l'adoption... je suis personnellement pour, mais au même titre que pour les couples hétérosexuels. Arrêtez de parler d'homophobie a chaque fois qu'un détracteur se présente, sinon que dire de l'hétérophobie... toutes ces phobies conjuguées feront qu'un jour on en aura peur des mots.

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